19/09/2016

On retrouve Daniela Bisconti en ce début de saison à la mise en scène de « La famille du collectionneur », une comédie mordante et rythmée resituée dans les années 50’. On se souvient aussi de « La Puce à l’oreille » de Feydeau et de « Kiki van Beethoven » de Éric-Emmanuel Schmitt avec Nicole Valberg. Egalement professeur au Conservatoire de Bruxelles, quels sont ses malins plaisirs ?

Un livre
" Lettres à un jeune Poète " de Rainer Maria Rilke, un livre de chevet que j'ouvre régulièrement depuis l'âge de 20 ans. J'y ai chaque fois retrouvé des réponses importantes, existentielles, spirituelles. C'est un livre essentiel pour toute personne se tournant vers la création...d'une oeuvre comme de sa propre vie. Et "Cent ans de solitude "de Gabriel Garcia Marquez, un roman majeur du XXème siècle. La vie d'un village, imaginaire, à travers six générations d'une famille. J'ai adoré. L'imagination y est stimulée sans cesse. J'en garde des images incroyable. Un livre qui m'a fait rêvé.

Un musicien, une musique
Toots Thielemans, il vient de nous quitter et parce que j'adore le Jazz et le Blues. C'est vraiment un grand monsieur qui a réussi à faire entrer la sonorité de l'harmonica dans le jazz alors qu'au départ on associe l'harmonica à la musique populaire. Il a fait des merveilles et revisité des grands standards du Jazz, même la musique brésilienne. J'aime.

Un repas
La cuisine italienne parce que … je suis chauvine.

Dans « La Famille du collectionneur », quel est ou quel serait le malin plaisir du personnage principal ?
Anselme continuerait envers et contre tout sa collection, ce ne serait qu’un prétexte à ne s’occuper que de lui et de rien d’autre.

SON ACTUALITÉ
"La famille du collectionneur" de Carlo Goldoni, jusqu'au 8 octobre 2016.

Retrouvez d'autres Malins Plaisirs par ici.